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Tout ce qui est sur Terre doit périr ou La dernière licorne – Michel Bussi

Auteur : Michel Bussi

Edition : Pocket

Genre : Thriller, aventure, roman ésotérique

Année de sortie : 2017

Nombre de pages : 768 pages

Pour l’acheter :

Prix : 8,95€

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Une masse sombre, inexpliquée, prise dans les glaces millénaires du mont Ararat…

Un livre interdit, gardé sous clé dans l’enfer du Vatican…

Un animal de bois, énigmatique, portant au front une corne unique…

Les indices sont là, éparpillés. Un gigantesque puzzle à reconstituer pour remonter à l’origine de toutes les religions du monde. De Bordeaux à Hong Kong, en passant par l’Arménie, Zak Ikabi n’a qu’une obsession : en réunir toutes les pièces. Et trouver enfin l’arche de Noé. Embarquée malgré elle dans sa quête, la glaciologue Cécile Serval, aussi érudite que volcanique, se voit bientôt confrontée à un véritable déluge de questions. Et de balles de Kalachnikov… Car pour garder ce secret, certains sont prêts à tous les sacrifices…

Offert à ma mère pour Noël, j’ai commencé à mon tour cette lecture avec beaucoup d’attentes.

Si vous me suivez depuis un petit moment déjà, vous n’êtes pas sans savoir qu’il ne s’agit pas du premier Michel Bussi que je découvre.

Ce roman a été publié la première fois en 2017 sous le nom de La première Licorne écrit par Tobby Rolland.

Dans son avant-propos, Michel Bussi nous explique avoir publié ce roman sous un nom d’emprunt car il ne voulait pas qu’il soit acheté parce que son nom était écrit dessus. De plus, il ajoute que l’histoire est « plus noire et plus violente que mes romans habituels ». Je suis complètement d’accord là dessus, ce n’est pas le genre d’histoire que je regarderai en film.

Lorsque j’ai découvert ce roman, je savais donc qu’il était écrit par Michel Bussi et j’ai reconnu ses documentations très importantes toujours très poussées qui nous donnent pleins de détails et rendent les descriptions toujours plus réalistes.

J’ai aussi rapidement reconnu le style d’écriture de Michel Bussi (le naturel revient toujours au galop). L’écriture est fluide, simple. On comprend facilement ce qu’il se joue.

Ce pavé de plus de 750 pages, commence doucement, très doucement. J’ai failli abandonné plusieurs fois au début. On est noyé sous une tonne d’informations, de personnages différents. On ne comprend pas où l’auteur veut en venir.

Et puis vers la moitié du roman, on commence à comprendre ce qu’on cherche vraiment et l’action commence à se mettre en place. S’en suit des révélations toujours plus surprenantes qui nous paraissent au final réalistes.

Je dois avouer que je ne me suis jamais posée sur le mythe de l’arche de Noé et je ne savais pas qu’il était commun à toutes les religions.

Au fur et à mesure des pages, les personnages principaux se dessinent, on comprend qui seront les secondaires et certains meurent. Il y a beaucoup de sang dans ce roman.

Au final, j’ai apprécié le fond global de cette histoire et j’ai compris que, pour que nous ayons toutes les données entre nos mains, Michel Bussi devait nous baratiner avec toutes ces données au début.

Pour moi, il s’agit d’un bon livre mais sans plus, puisque je l’ai trouvé assez long dans l’ensemble. On reconnait le travail de recherche de Michel Bussi mais ce n’est pas le genre de roman qui m’attire habituellement.

Pour lire la biographie de Michel Bussi c’est par ici !

Mes autres chroniques sur les romans de Michel Bussi :

8 commentaires sur “Tout ce qui est sur Terre doit périr ou La dernière licorne – Michel Bussi

  1. Hello ! Rien que le titre de ce livre m’inspire énormément … Merci pour ce partage, je lirai ton avis lorsque je l’aurai lu à mon tour, pour ne pas être « influencée ». Je file le chercher d’occasion ! 🙂

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