Nouvelle Babel – Michel Bussi

Auteur : Michel Bussi 🇫🇷

Edition : Les presses de la cité

Genre : Policier, enquête, dystopie

Année de sortie : 2022

Nombre de pages : 447 pages

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Prix : 9,20 €

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Jours tranquilles aux Tuamotu. Sur une île privée de l’archipel polynésien, une poignée de retraités savourent leur vieillesse à la plage. Quand soudain une voile se profile à l’horizon… C’est la mort qui approche, sous les traits d’un mystérieux tueur blond.

Du jamais-vu pour le commandant Artem Akinis et son équipe. Dans cette démocratie idyllique et sans frontières qu’est devenu le monde, alors qu’à tout instant on sait où chacun est et va, que signifie un tel crime ? Commence alors, de Rio à la jungle birmane, jusqu’aux confins de l’Himalaya, une course contre la montre où aucune aiguille ne semble tout à fait à sa place…

Après avoir lu beaucoup des premiers romans de Michel Bussi, j’ai finalement un peu délaissé sa plume, ne me retrouvant pas dans ses nouveaux choix d’écriture. Ma mère m’a néanmoins conseillé celui-ci et je me suis laissée tenter par le résumé.

Dès les premiers pages, l’auteur nous plante le décor dans ce monde de 2097 où la téléportation est monnaie courante pour tout. Les déchets sont directement transférés dans les centre de tri. On peut prendre notre petit déjeuner en face du Mont Saint Michel puis faire un footing sur une plage du Brésil, bref le rêve. Cette dystopie est vraiment bien aboutie par l’auteur, il répond à toutes les interrogations que l’ont pourraient avoir. On voit également les nombreux avantages au niveau de la sécurité, de la santé. Chaque parcelle de Terre appartient aux terriens qui parlent une langue unique et utilise une monnaie unique. en bref, ce premier postulat m’a vraiment plu et intriguée.

Du point de vue de l’histoire, on assiste à de multiples rebondissements, dévoilants les quelques failles de ce système. J’ai retrouvé la plume de Michel Bussi, si particulière et visuelle sans tomber dans la cinématographie. On voyage beaucoup dans ce roman.

Je me suis laissée portée par cette histoire, et je dois avouer que cela m’a permis de renouer avec l’auteur. Ce ne sera pas un coup de cœur mais j’ai passer un bon moment avec ce roman qui se lit vraiment tout seul.