Aventure·Chroniques·Fantastique·Saga Familiale·Thriller

Blackwater T1 : La crue – Michael McDowell

Auteur : Michaël McDowell

Edition : Monsieur Toussaint Louverture

Genre : Mystère, Saga familiale, Suspense

Année de sortie : 1983

Nombre de pages : 259 pages

Pour l’acheter :

Prix : 8,40€

Lalibrairie.com

Alors que les flots sombres et menaçants de la rivière submergent Perdido, une petite ville du sud de l’Alabama, les Caskey, une riche famille de propriétaires, doivent faire face aux innombrables dégâts provoqués par la crue. Mené par Mary-Love, la puissante matriarcale, et par Oscar, son fils dévoué, le clan s’apprête à se relever. Mais c’est compter sans l’apparition aussi soudaine que mystérieuse, d’Elinor Dammert, jeune femme séduisante au passé trouble, dont le seul dessein semble être de s’immiscer au coeur de la famille Caskey.

Je pense que personne n’a pas eu l’occasion de croiser ce livre en librairie ou sur les réseaux sociaux. Je ne pensais pas me laisser tenter au début car je pensais qu’il s’agissait d’un roman fantastique. Néanmoins, j’ai lu des avis qui disaient que cette partie était moindre et qu’il s’agissait plus d’une saga familiale avec une atmosphère étrange. Je me suis donc laissée avoir par la vague !

Tout d’abord, la saga a été publiée aux Etats-Unis pendant les années 80 mais, pour la première fois, Monsieur Toussaint Louverture nous propose une traduction. Le travail de l’édition est magnifique pour tous les tomes ce qui donne encore plus envie de se les procurer. De plus, ils sont sortis par intervalle de 15 jours ce qui a entrainer beaucoup de bruits. Cette idée marketing est plutôt bien réussie puisque le premier tome est en cours de réimpression, car en rupture sur plusieurs sites, notamment la Fnac.

Pour ce qui est de ma critique, je dois avouer que la partie fantastique, si elle l’est vraiment, est peu présente. Il y a un mystère qui pèse sur Elinor mais cela n’a en rien dérangé ma lecture bien au contraire ! L’atmosphère qui se dégage de ce roman nous maintient en haleine.

Passé cette ambiance pesante, on découvre la vie de la famille Caskey, et le roman devient rapidement une saga familiale. Alors cette, il n’y a pas d’actions folles mais j’aime le style d’écriture fluide et précis de Michaël McDowell. Et surtout j’adore suivre cette famille puissante de Perdido, les rapports de force entre Mary-Love et Elinor, les liens avec les domestiques.

Les descriptions sont très visuelles, on est immergés dans la ville. Les personnages sont justes, sans cliché.

J’ai franchement hâte de continuer ma lecture, notamment sur cette fin qui laisse un bon suspense !

Ils en parlent également :

En tournant les pagesLire et courirAude bouquineAnalireLes petites bulles de papier The Eden of BooksAujourd’hui je m’aime

24 commentaires sur “Blackwater T1 : La crue – Michael McDowell

  1. De ce que j’ai compris ces publications tous les 15 jours est bien plus qu’une idée marketing. C’est une réponse à l’intuition de l’auteur au moment où il a écrit ces romans. Ma bibliothèque les a acquis j’ai hâte de les lire!

    Aimé par 1 personne

Laisser un commentaire