Les Sept Soeurs T6 : La Sœur du Soleil – Lucinda Riley

Auteur : Lucinda Riley 🇬🇧

Edition : Le livre de Poche

Genre : Contemporain, Historique, Romance, Feel-good, Saga familiale

Année de sortie : 2019

Nombre de pages : 951 pages

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Prix : 11,90€

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À la mort de leur père, énigmatique milliardaire qui les a ramenées des quatre coins du monde et adoptées lorsqu’elles étaient bébés, Électra d’Aplièse et ses soeurs se retrouvent dans la maison de leur enfance, Atlantis, une magnifique demeure sur les bords du lac de Genève. La vie semble sourire à Électra, la sixième soeur : mannequin le plus en vue de la planète, elle est belle, riche et célèbre. Mais derrière cette image idéale se cache une jeune femme perdue depuis le décès de Pa Salt. Emportée dans la spirale infernale de la drogue et de l’alcool, et alors que tout son entourage s’inquiète pour elle, elle reçoit une lettre d’une inconnue qui dit être sa grand-mère. Celle-ci lui révèle que ses racines se trouvent au Kenya, au coeur d’une tribu maasaï…

Même si les tomes peuvent se lire de manière aléatoire, je vous conseille de les lire dans l’ordre. Pour cela voici ma chronique sur le premier tome !

On approche de la fin de la saga et c’est donc avec joie mais aussi appréhension que j’ai ouvert ce sixième tome qui porte sur Electra.

C’est la sœur dont on entend le moins parlé dans les autres tomes. On sait simplement qu’elle est connue et que, petite, elle hurlait des heures durant. Cela ne me donnait pas vraiment envie de la rencontrer mais on doit bien y passer et finalement, j’ai passé un très bon moment en sa compagnie.

Certes Electra est célèbre, mais Electra est surtout une femme seule, qui vient de se faire larguer et qui a plongé dans les travers de la drogue et de l’alcool. Son histoire m’a globalement bien touchée car l’autrice a su rendre hommage à ces personnes qui se battent contre ces addictions. La partie présente se passe donc à New York. Elle est assez prévisible mais j’ai appris à aimé le personnage d’Electra qui est assez touchante même si je m’y suis peu identifiée.

On rencontre assez vite la partie du passé. On est plongé dans le New-York de 1930 puis nous partons au Kenya. On y découvre la vie là-bas à l’époque. Il s’agissait d’un lieu où les colons et leurs femmes se laissaient aller dans La Vallée de la Joie. Les relations extraconjugales vont bon train et cela ne fait pas jaser. On découvre aussi le peuple Massaï. Puis la seconde guerre mondiale arrive et remet certaines choses en question.

J’ai aimé suivre Cecily dans cette deuxième partie. Cette histoire d’amour faite de beaucoup de non dit m’a tout de même plu. De plus son histoire m’a beaucoup touché.

Ce roman parle de thèmes plus engagés que dans les tomes précédents, je trouve. On y parle de racisme, de ségrégation, d’adoption, de drogue. Je l’ai trouvé vraiment interessant et finalement il se classe dans les meilleurs tomes de la saga.

La fin nous laisse sur l’ouverture de la septième sœur qu’on ne connaît toujours pas. Et j’ai hâte de découvrir ce mystère !