
Auteur : Nicolas Beuglet đ«đ·
Edition : Pocket
Genre : Thriller, Policier
Année de sortie : 2016
Nombre de pages : 557 pages
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Prix : 9,20âŹ

Ă quelques kilomĂštres d’Oslo, l’hĂŽpital psychiatrique de Gaustad dresse sa masse sombre parmi les pins enneigĂ©s. AppelĂ©e sur place pour un suicide, l’inspectrice Sarah GeringĂ«n pressent d’emblĂ©e que rien ne concorde. Le patient 488, ainsi surnommĂ© suivant les chiffres cicatrisĂ©s qu’il porte sur le front, s’est figĂ© dans la mort, un cri muet aux lĂšvres – un cri de peur primale. Soumise Ă un compte Ă rebours implacable, Sarah va dĂ©couvrir une vĂ©ritĂ© vertigineuse sur l’une des questions qui hante chacun d’entre nous : la vie aprĂšs la mort…

Je viens vous parler aujourdâhui du premier tome dâune trilogie de Nicolas Beuglet. Jâai beaucoup entendu parler de ce thriller et jâai choisi de lâoffrir Ă ma mĂšre pour NoĂ«l, elle qui adore les romans policiers assez trash. Elle a adorĂ© et câest donc mon tour de dĂ©couvrir ce roman.
Autant vous dire quâau dĂ©but il faut sâaccrocher. Les scĂšnes de violence sont assez difficilement soutenables et pendant la bonne premiĂšre moitiĂ© du livre on assiste Ă beaucoup de morts mais complĂštement imprĂ©visible et câest ce que jâai aimĂ© !
Dans ce roman, on ne sait pas du tout oĂč lâauteur va nous emmener, on se laisse promener et voyager parce que je peux vous dire quâon ne restera pas bien longtemps en NorvĂšge.
Pour ce qui est de Sarah GeringĂ«n, je me suis attachĂ©e rapidement Ă elle. Elle mâa fait beaucoup de peine au dĂ©but et mĂȘme si je trouve que la fine romance quâon peut retrouver dans ce livre nâest pas trĂšs adaptĂ©e, elle apporte un peu de fraĂźcheur.
Alors ce thriller ne sera pas pour moi un coup de cĆur. Tout dâabord car il y a beaucoup de scĂšne de violence mais egalement beaucoup dâactions et jâai eu du mal Ă mây retrouver. Ensuite travaillant en rĂ©animation, il y a une scĂšne du roman qui mâa assez irritĂ©e car elle nâest pas du tout rĂ©aliste. Cela contraste totalement avec lâimportant travail de recherche de lâauteur et je pense que dâautres choix auraient pu ĂȘtre fait.
Je dois tout de mĂȘme saluer le talent de lâĂ©crivain car en 550 pages, on ne sâennuie pas, la plume est dynamique. Je lirai la suite naturellement !

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5 commentaires sur “Le cri – Nicolas Beuglet”